Fumihiko Maki

Je n’essaye pas d’avoir des formes ou des textures inutilement compliquées dans les bâtiments. C’est une sorte de discipline que je me donne. (…) Il y a un art mystérieux dans tout le processus de conception, et des décisions conscientes ou inconscientes. Pas essayer de faire des espaces et des formes extraordinaires, quelque chose que vous n’avez pas fait ou que vous n’avez pas vu. Au lieu de cela, nous respectons les comportements humains, ce qu’ils peuvent aimer, ce qu’ils peuvent ne pas aimer.

Chaque nation est différente, mais quand on regarde le comportement des enfants, ils sont si proches les uns des autres. Par exemple, ils aiment une forme ronde. Ils aiment un endroit élevé pour pouvoir sauter ou monter dans un petit endroit. Ils sont tous les mêmes. J’ai donc découvert que l’être humain avait deux caractéristiques. La première est que (les êtres humains) sont très semblables les uns aux autres, je pense que c’est très important, mais ils sont également différents. Lorsque nous traitons des espaces, des formes dans différents lieux, je suis très concerné par les comportements communs et particuliers de nos utilisateurs. (in : https://www.inexhibit.com/marker/all-children-like-round-forms-an-interview-to-fumihiko-maki/ -[trad. Marc Crunelle])

L’espace est un sujet difficile parce qu’il provoque un effet non négligeable sur les cinq sens. C’est une propriété spécifique de l’espace. (F. Maki, in : Architecture d’Aujourd’hui)